CD de 2h30 expliquant chaque produit de manière ironique et provocatrice ! |
Tolérance
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Sensibilisation
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Dépendance physique
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Dépendance psychique
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Opiacés
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Aux effets dépresseurs et aux renforcements positifs
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Aux effets stimulants locomoteurs et aux symptômes de sevrage (persistance sur 6 mois)
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Risque de rechute maximum à J+1
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Oui
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Alcool
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Aux effets sédatifs, subjectifs, ataxiques et hypothermiques
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Aux effets stimulants locomoteurs et aux symptômes de sevrage
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Oui
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Oui
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Amphétamines
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Aux effets subjectifs et cardio-vasculaires
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Aux effets stimulants locomoteurs (persistance sur 6 mois)
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?
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Oui
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Cocaïne |
Aux effets subjectifs et cardio-vasculaires
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Aux effets stimulants locomoteurs (durée indéterminée)
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? (certains auteurs décrivent pourtant un risque de rechute à J+4)
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Oui
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LSD
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Aux effets subjectifs
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Non
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Non
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Oui
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Nicotine
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Aux effets dépresseurs locomoteurs, aux effets émetisants et cardio-vasculaires
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Aux effets psychostimulants
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Oui
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Oui
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Cannabis
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Aux effets cardiaques et psychiques, croisée et asymétriques avec l'alcool et la morphine
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Non
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Non
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Oui
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Sensibiliser les conducteurs à l'usage des produits psychoactifs peut se faire à l'aide de lunettes Drugmat qui sont différentes des lunettes alcool, puisque les effets sont différents, mais tout aussi dangereux au niveau de la conduite.
Les lunettes de simulation drogues mettent en évidence les effets suivants :
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altération de la vision,
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rétrécissement du champ visuel
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mauvaise évaluation des distances
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perte d’équilibre
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mauvaise préhension des objets, etc…
La fréquence des accidents chez les automobilistes de moins de 27 ans est multipliée par 1,7 avec la prise de médicaments psychoactifs, par 2,5 s'il s'agit de cannabis, par 3,8 avec l'alcool, par 4,8 avec les boissons alcoolisées associées au cannabis et par 9 dans le cas de l'héroïne.
Selon une étude du Pr Mura, les retombées du THC (le principe actif du cannabis) parviennent à un pic dix minutes après que le sujet a fumé et il n'est plus détectable dans le sang au-delà de 2 à 3 heures ». Chez un accidenté resté en vie, le THC reste fixé dans les récepteurs du cerveau de 6 à 8 h après la consommation.
Vous fumez votre joint, vous fumez votre permis, vos cellules grises, vous fumez votre vie.... |
« Pour l'alcool, il n'y a pas de surprise, explique le Dr Patrick Mura. Quel que soit l'âge, 30 % des conducteurs accidentés avaient bu (et nous avons pris en compte les alcoolémies d'au moins 0,5 g/l), certains ayant jusqu'à 3,5 g d'alcool par litre de sang. Parmi les témoins non conducteurs, ils sont 10 %, ce qui est quand même beaucoup: un patient sur dix admis aux urgences pour une cause médicale a bu.»
Pour le cannabis, ce sont exclusivement les 18-27 ans qui sont concernés : le quart d'entre eux (le groupe de conducteurs accidentés compte une même proportion de jeunes) présentent du THC dans le sang. Dans le groupe témoin, 10 % ont fumé des joints. Les morphiniques, surtout l'héroïne, concernent 3,5 % des accidentés de 18-27 ans du premier groupe et 0,5 % du second.
Enfin, les médicaments psychoactifs, surtout les anxiolytiques et les anti-inflammatoires, suivis par les antidépresseurs, sont retrouvés chez 12 % des conducteurs accidentés et 6 % des membres du groupe témoin.
Il en résulte, pour les 18-27 ans, des facteurs de risque notoires. Avec les médicaments, la fréquence d'accidents est multipliée par 1,7, le cannabis 2,5, l'alcool 3,8, le cannabis plus les boissons alcoolisées 4,8, et l'héroïne 9. A propos du cannabis, dans 60 % des cas, il a été détecté seul, dans 30 % associé à l'alcool et pour le reste à des médicaments psychoactifs ou à d'autres stupéfiants.
Le cannabis, modifie les perceptions : les distances et la profondeur de champ sont faussées. Le conducteur sous emprise de cannabis fonctionne « au ralenti » ; il prend alors plus de temps à analyser une situation, à prendre une décision : cela implique une diminution des réflexes, un freinage tardif, une perte de vigilance et d’attention. Il est dès lors en difficulté pour maîtriser son véhicule et contrôler sa trajectoire.
CONDUITE ET USAGE DE STUPÉFIANTS
La conduite, ou l’accompagnement d’un élève conducteur, après avoir fait usage de substances ou plantes classées comme stupéfiants, est interdite, quelle que soit la quantité absorbée.
DÉPISTAGE
Les forces de police et de gendarmerie pratiquent des dépistages systématiques d’absorption de substances ou plantes classées comme stupéfiants sur tout conducteur impliqué :
dans un homicide involontaire ;
dans un accident corporel lorsqu’il existe une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner que la personne impliquée conduisait après avoir fait usage de produits stupéfiants.
Ce dépistage peut également intervenir :
en cas d’accident matériel de la circulation,
lorsque le conducteur d’un véhicule est l’auteur présumé d’une infraction au code de la route punie d’une peine de suspension du permis de conduire ou qu’il s’est rendu coupable d’une infraction à la vitesse, au port de la ceinture de sécurité ou du casque ;
et enfin lorsqu’il existe une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner que le conducteur a fait usage de stupéfiants.
Le THC se fixe très rapidement dans tous les tissus et organes de l’organisme
très riches en lipides, dont le cerveau. De ce fait il n’y a pas de corrélation
entre les concentrations sanguines et les effets qui persistent alors que les
concentrations dans le sang sont devenues très basses voire nulles.
Le contrôle des stupéfiants ("Securitec"résultat au bout de six minutes) au volant a un prix. En plus des nouveaux kits salivaires, à 12 euros l'unité, s'ajoutent les frais d'analyse. En cas de test positif, une prise de sang est en effet ensuite obligatoire pour valider ce premier résultat. Coût des analyses toxicologiques: 450 euros maximum.
Pour faire baisser ces frais, les automobilistes, en infraction, paieront ces analyses. Une obole qu'ils devront verser une fois à la barre du tribunal. Une économie de l'ordre de 10 millions d'euros par an pour le ministère de la Justice.
Delta-9-tétrahydrocannabinol =
THC (principe actif)
11-hydroxy-delta-9-tétrahydrocannabinol = 11-OH-THC, métabolite actif
Acide 11-nor-
delta-9-tétrahydrocannabinol carboxylique = THC-COOH, non actif
Cas
n°1 :
présence de THC et de THC-COOH et éventuellement de 11-OH-THC, quelque
soient les concentrations (> 0,2 ng/ml).
La présence de THC au niveau du sang indique que du THC est présent au
niveau du cerveau (cervelet, cortex frontal et occipital, hippocampe, etc.) et que le sujet a consommé récemment du cannabis et
qu’il était sous influence de ce produit au moment du prélèvement (ou du décès).
Lorsque la concentration de THC
est supérieure à celle du 11-OH-THC, cela témoigne d’une consommation par
inhalation.
Lorsque la concentration de
11-OH-THC est supérieure à celle du THC, cela témoigne d’une consommation par
ingestion.
Cas n° 2 :
présence de THC-COOH (concentration > 0,2 ng/ml) et absence de THC et de
11-OH-THC.
La présence de THC-COOH révèle
une consommation de cannabis. L’absence de THC et de 11-OH-THC indique que cette
consommation a eu lieu plusieurs heures avant le prélèvement (> 6-8 heures).
En l’absence de THC et lorsque
la concentration en THC-COOH est peu élevée (inférieure à 20 ng/ml), il y a lieu
de considérer que le sujet n’était plus sous influence de cannabis au moment du
prélèvement (ou du décès).
En l’absence de THC et lorsque
la concentration en THC-COOH est élevée (> 40 ng/ml), nous ne pouvons pas
exclure le fait que le sujet était sous influence de cannabis au moment du
prélèvement. En effet, des études récentes ont montré que le THC pouvait être
encore présent dans le cerveau alors qu’il n’était plus détectable dans le sang.
Observations complémentaires :
Une concentration très élevée
en THC (> 20 ng/ml) ne signifie pas que le sujet a inhalé une forte dose. En
revanche, cela signifie que le sujet a consommé très récemment (dans les minutes
qui ont précédé). Il n'y a aucune relation entre effet (sur la conduite
automobile) et concentration de THC dans le sang.
Une concentration très élevée
en THC-COOH (> 50 ng/ml) indique le plus souvent qu’il s’agit d’un consommateur
régulier et important de cannabis.
Le contrôle des stupéfiants ("Securitec"résultat au bout de six minutes) au volant a un prix. En plus des nouveaux kits salivaires, à 12 euros l'unité, s'ajoutent les frais d'analyse. En cas de test positif, une prise de sang est en effet ensuite obligatoire pour valider ce premier résultat. Coût des analyses toxicologiques: 450 euros maximum.
Pour faire baisser ces frais, les automobilistes, en infraction, paieront ces analyses. Une obole qu'ils devront verser une fois à la barre du tribunal. Une économie de l'ordre de 10 millions d'euros par an pour le ministère de la Justice.
En 2010, 76.000 dépistages ont été réalisés. À chaque fois, 40% environ
de ces contrôles se sont révélés positifs. «Le taux est élevé car les
contrôles sont ciblés. Ils sont organisés la nuit aux abords des boîtes
de nuit par exemple». En 2010, le nombre
d'accidents impliquant un automobiliste sous l'emprise de stupéfiants a
été de 829. Au cours de ces sinistres, 209 personnes avaient trouvé la
mort.
Test urinaire en 5 mn |
Test multi drogues |
SANCTIONS ENCOURUES
Vous risquez d’être puni de 2 ans d’emprisonnement et de 4500 euros d’amende.
Ce délit donne lieu à la perte de six points du permis de conduire.
Les sanctions sont aggravées lorsque cette infraction est couplée avec l’alcoolémie : les peines sont portées à 3 ans d’emprisonnement et 9000 euros d’amende.
Attention, le tribunal peut en outre décider de vous infliger une suspension du permis de conduire pour une durée pouvant atteindre 3 ans voire l’annulation du permis de conduire avec interdiction d’en solliciter un nouveau pendant 3 ans au plus.
Mélanger les produits multiplient les effets, donc les risques au volant..... |
Alcool, cannabis, médicaments, notre temps de réaction augmente énormément
Une étude, selon les métiers, de l'INPES (Institut national de prévention et d'éducation pour la santé) très intéressante sur la consommation de drogues dans le monde du travail. Un baromètre complet, réalisé entre octobre 2009 et juillet 2010 sur un panel de 27653 personnes, qui concerne la consommation des principales substances psychoactives (alcool, tabac, cocaïne, amphétamines) de l'ensemble de la population active résidant en France métropolitaine
L'alcool : " jamais pendant le service " pas si vrai que ça.
La consommation dite "ponctuelle", soit le fait de boire 6 verres ou plus dans la même soirée au moins une fois par mois, touche plus de 30% des personnes dans les métiers de la construction, de l'agriculture et de la pêche. Ce qui représente 10% de plus que la moyenne française. A l'inverse les métiers de la santé humaine et de l'éducation affichent des chiffres beaucoup plus bas, entre 8 et 11% seulement.
Mais qu'on ne s'y trompe pas. L'alcool reste de très loin la substance la plus consommée par les Français au travail.
Le cannabis : une consommation très hétérogène.
Pour ce qui est du cannabis la consommation est beaucoup plus éparse. Il est consommé par 17% des personnes interrogées dans le domaine des arts et du spectacle, et 13% dans la construction, tandis que les pourcentages chutent drastiquement pour d'autres professions, avec à peine 2,5% dans l'administration publique et seulement 1% dans les services de ménages (concierges, jardiniers, femmes de ménage, baby-sitter...). La drogue préférée des Français, avec plus de deux millions de consommateurs réguliers, ne divise pas uniquement la classe politique. Si le cannabis est relativement toléré dans certains milieux professionnels, il reste complètement banni ailleurs.
La cocaïne : victime de son succès.
L'usage de la cocaïne s'est, quant à lui, très largement démocratisé dans le monde du travail. D'abord en raison de la pénibilité croissante dans tous les domaines d'activités mais aussi, et surtout, du fait de la chute substantielle de son prix d'achat. En quelques années seulement le prix au gramme a été divisé par deux.
Du coup, près de 10% des travailleurs de l'hôtellerie et de la restauration reconnaissent en avoir déjà consommé au cours de leur vie sur leur lieu de travail. Les métiers à forte tension comme les traders, les avocats, ou les architectes ne sont donc plus du tout les uniques consommateurs de la poudre blanche. On en trouve même aujourd'hui parmi les cheminots, les employés de centre de tri de la poste ou les ouvriers du bâtiment, qui pour faire face à la pénibilité de leur travail, se mettent à consommer de la cocaïne voire même parfois de l'ecstasy .
Le plus souvent, cela se passe en deux temps. Le salarié commence par prendre des stimulants légaux (médicaments et autres) pour être plus efficace au travail. Puis, ce même salarié passe aux drogues illicites parce qu'il est dépassé par son travail. Et c'est le cycle de la dépendance qui s'installe : le travail permet de se payer sa drogue ; la drogue permet d'assurer le travail.
Le tabac : la plus tolérée et la plus ancrée de toutes les drogues.
Journée mondiale contre le tabagisme, campagnes publicitaires, augmentations du prix... Rien n'y fait. La cigarette, cette fameuse pause clope quotidienne, fait toujours un tabac parmi les actifs.
Une consommation universelle, qui va de 23,4% chez les enseignants jusqu'à 43,8% dans le secteur de la construction. La cigarette au travail est la drogue la plus présente et la plus régulièrement consommée par l'ensemble de la population.
Le travail c'est la santé !
A la lecture de ce baromètre, le constat est limpide. Les populations les plus touchées par l'usage de la drogue au travail ne sont pas celles aux revenus les plus élevés mais, au contraire, celles dont les métiers sont les plus pénibles physiquement, notamment les métiers de l'agriculture, de la pêche et du bâtiment. Cette donnée importante explique, en partie, pourquoi les femmes sont proportionnellement moins touchées que les hommes par la consommation de produits psychoactifs (90% des métiers de la construction sont exercés par des hommes).
En dépit d'une surconsommation dans certains secteurs, le travail reste globalement protecteur en matière d'addictions, les chômeurs ayant une tendance à la consommation encore plus élevée.
Malgré tout une question mérite d'être posée. Que doivent faire les entreprises pour lutter contre les drogues? A la SNCF, par exemple, la direction a choisi l'option de la prévention. La Mission Interministérielle de la Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie (MILDT) prône le dépistage obligatoire.
Le dépistage est obligatoire pour les postes comportant des exigences en matière de sécurité et de maîtrise du comportement, à l'instar des contrôleurs aériens ou des conducteurs d'engins.
Dans les armées, quels sont les tests pour les amateurs de ganja ???
-test urinaire pour les test de présélection, test urinaire lors de la visite d'incorporation... et un test urinaire chaque année lors de la VSA, (Visite Systématique Annuelle), tolérance zéro.
A noter que les nouveaux tests fournis par le Service de Santé des Armées permet de déceler la présence de cannabis jusqu'à quatre mois.
Tous ces produits psychoactifs (alcool, médicaments, tabac, cannabis, cocaïne, Héroïne, etc) sont nocifs pour la santé et au volant. Mais certains le sont plus que d'autres d'après l'OMS !
Durée de dépistage des drogues dans les urines:
Drogue : la substance concernée.
Demi-vie : le temps nécessaire pour que la quantité d’une substance contenue dans l’organisme se réduise à la moitié de sa valeur initiale (par exemple la teneur d’une drogue dans le sang).
Temps de détection : période durant laquelle une substance est dépistable après avoir été consommée. Un dépistage sera probablement négatif s’il est pratiqué avant ou après la période définie par le temps de détection.
Durée de dépistage des drogues dans la salive :
Durée de dépistage des drogues dans le sang :
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