dimanche 22 septembre 2013

Nouveaux panneaux 2013


Des nouveaux panneaux ont vu le jour en plus des 500 existants ! 

En haut à gauche : la signalisation pour les impasses a aussi évolué. Il est désormais possible de savoir si la voie dispose d'une issue pour piétons et/ou cyclistes grâce aux pictogrammes les représentant. Une nouvelle bien pratique pour les promeneurs et autres adeptes de la petite reine.
En haut à droite : centre commercial
En bas à gauche : nappes de brouillard ou de fumées épaisses
En bas à droite : parc de stationnement sous vidéosurveillance.


Espace naturel sensible
 
parcs ou jardins ayant reçu le label « jardin remarquable


Stationnement réglementé à durée limitée(logo du disque de stationnement modifié)

 
Artère à sens unique avec vélos pouvant circuler à contresens







Panneau permettant aux cyclistes de passer aux feux sans être prioritaire


point de mise à l'eau pour les embarcations légères.

produits vinicoles

Présence de plage


Gare avec trafic supérieur à 30 000 voyageurs

Pour éviter les contresens sur les bretelles d'autoroutes

samedi 21 septembre 2013

Vélib à Paris un succès écologie accidentologie



Depuis 2007 c'est 224 000 abonnés, près de 23 500 vélos et 1 700 stations qui sont disponibles, dans la ville et en proche banlieue.
 Le Vélib permet en moyenne 110 000 trajets par jour, avec quelques pics à 135 000 trajets,en 2012 (31,3 millions de location). Le temps moyen des trajets est de 18 minutes. Un trajet sur deux est professionnel, et 38 % des utilisateurs ont entre 26 et 35 ans. La majorité des utilisateurs occasionnels (55 %) prennent le Vélib le week-end.
31 communes limitrophes de Paris se sont dotées de Vélib.
 6 % du parc serait dégradé chaque année, contre 8 % il y a deux ou trois ans. En juillet 2009, le service comptait pas moins de 16 000 vélos vandalisés, et 8 000 disparus depuis 2007. Le coût du vandalisme avait alors été évalué à 8,5 millions d'euros, chaque remplacement de vélo coûtant 610 euros.
 Environ 10 000 Vélib ont disparu en 2012 sur 24 000 !
Environ 10 000 Vélib' ont disparu en 2012. Sur un parc théorique de 23 800 vélos parisiens en livre accès, il n'en reste plus que 14 000
Read more at http://www.atlantico.fr/atlantico-light/velib-pres-10-000-velos-ont-ete-voles-ou-vandalises-en-2012-848986.html#jt5TYZc43WlL7S8f.99
Environ 10 000 Vélib' ont disparu en 2012. Sur un parc théorique de 23 800 vélos parisiens en livre accès, il n'en reste plus que 14 000
Read more at http://www.atlantico.fr/atlantico-light/velib-pres-10-000-velos-ont-ete-voles-ou-vandalises-en-2012-848986.html#jt5TYZc43WlL7S8f.99
Environ 10 000 Vélib' ont disparu en 2012. Sur un parc théorique de 23 800 vélos parisiens en livre accès, il n'en reste plus que 14 000
Read more at http://www.atlantico.fr/atlantico-light/velib-pres-10-000-velos-ont-ete-voles-ou-vandalises-en-2012-848986.html#jt5TYZc43WlL7S8f.99


 Depuis juillet 2007, onze cyclistes, dont sept en Vélib, ont été tués lors d'accidents de vélos. A Paris, on recense en moyenne 660 accidents par an, pour la plupart de faible gravité. Selon la ville de Paris, les angles morts sont la cause principale de ces accidents.
De plus en plus d'automobilistes prennent les vélib pour rentrer chez eux eux après avoir fait la fête, ce qui engendre de nombreux accidents dû à l'alcool... 

Attention, on risque une suspension de permis pour alcoolémie à vélo (en moyenne 4 mois et 500 € d'amende suivant les tribunaux).

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/11/1706070-ivre-a-velo-il-est-prive-de-permis.html



jeudi 19 septembre 2013

Statistiques et Bilan 2012 accidents Québec



Le Canada s'est fixé comme objectif d'avoir les routes les plus sûrs du monde. Ce bilan permet de voir où ils en sont, quelles sont les efforts consentis et quels sont les axes de travail pour y arriver. On pourra ensuite comparer avec le bilan français


Cliquez sur : Statistiques et Bilan 2012 accidents Québec

Les efforts sur les conducteurs qui sont ciblés sont  :
Jeunes conducteurs moins de 25 ans

Conducteurs à risque pour des raisons médicales: 
Les conducteurs dont l’état de santé pourrait avoir un effet sur l’utilisation sécuritaire de leur véhicule, de leurs occupants ou des autres usagers de la route sont compris dans ce groupe (p.ex. : épilepsie, cardiopathie ischémique,
etc.). Ceci comprend une façon de conduire, qui, sous l’effet du processus de vieillissement, serait réputée ne pas être dans le cadre d’une conduite normale (p. ex. : faibles
compétences cognitives et de perception, lenteur de réaction dans une situation de prise de décision, limites visuelles ou auditives) et qui pourrait causer des accidents.
Usagers vulnérables de la route: piétons, motocyclistes et cyclistes, et les personnes utilisant un équipement motorisé personnel (p. ex. : fauteuil roulant motorisé ou vélomoteur).
Transporteurs routiers : une personne ou une entité qui est responsable d’un véhicule commercial (p. ex. : conducteur, transporteur).
Conducteurs à haut risque : contrevenants récidivistes adoptant un comportement type illégal au volant (p. ex. : conduite récurrente avec facultés affaiblies par l’alcool ou la drogue, infractions au règlement de la circulation,
implication dans un accident ou conducteur faisant l’objet d’une suspension ou d’un retrait de permis).

Conduite avec facultés affaiblies : comprend toutes sortes de facultés affaiblies, y compris celles causées par l’ingestion de substances (alcool,drogues [sur ordonnance, au comptoir ou illicite]) ainsi que celles provenant de causes naturelles (fatigue ou comportement distrait).

Excès de vitesse et conduite agressive : comprend la conduite au-delà des limites de vitesse autorisées par la loi et affichées sur les panneaux, et ce, sur tous les types de routes, en milieu urbain ou rural, et la conduite inadaptée aux
conditions normales de la circulation qui risquent d’engendrer des blessures pour les autres usagers de la route ou causer des collisions et des victimes.
Conduire trop vite en fonction des conditions routières fait aussi partie de cette catégorie.
Protection de l’occupant : comprend les questions portant sur l’utilisation adéquate de dispositifs de retenue appropriés des usagers, les améliorations technologiques des véhicules (résistance aux chocs et prévention des accidents) et de routes plus sûres (p. ex. : obstacles dangereux en bordure de
route, éclairage, signalisation, etc.).

mardi 17 septembre 2013

Deux-roues motorisés en Ile de France accidentologie

L'accidentologie des deux-roues motorisés en Ile de France

L'accidentologie des deux-roues motorisés en Ile de France

Les deux-roues motorisés impliqués dans un accident sur deux en IDF

113 tués en 2012 soit 35% des tués


Les motards, au même titre que les piétons et les cyclistes sont des usagers vulnérables représentant 35% des tués en 2012 en région francilienne.
Si la moto se montre 27 fois plus mortelle que la voiture d'après une campagne de sensibilisation de la Sécurité Routière, cela s'avère d'autant plus vrai en Ile-de-France, région qui totalise à elle seule plus de 15% du parc de deux-roues motorisés en France. On dénombre ainsi en 2012 près de 19.291 accidents corporels de la circulation en région francilienne qui sont à l'origine de la mort de 326 personnes et de 22.891 victimes au total.
Malgré un net recul de l'accidentologie des deux-roues motorisés en Ile-de-France comme sur l'ensemble de l'hexagone en 2012, la région francilienne a tout de même comptabilisé 113 tués, soit 35% des décès sur les routes, 1.687 blessés hospitalisés (39% des blessés hospitalisés) et 8.771 accidents soit 46% des accidents.
Comparativement, en 2011 ce sont 122 utilisateurs de deux-roues soit 33.6% des tués qui ont trouvé la mort sur les routes franciliennes alors qu'en France métropolitaine les motards représentaient 24% des tués.

Les tranches d'âge les plus touchées

L'accidentologie des deux-roues motorisés en Ile de France  

En deux-roues motorisés, la tranche des 15-24 ans représente 28% des tués et 34% des blessés hospitalisés. Une tendance qui peut s'expliquer par le manque d'expérience de ces jeunes conducteurs souvent adeptes des petites cylindrées puisque deux victimes sur trois circulent sur un deux-roues de petite cylindrée.
Autre catégorie surreprésentée dans l'accidentologie en Ile-de-France, les 25-44 ans. Ces jeunes actifs représentent en effet 54% des tués et 49% des blessés hospitalisés. Contrairement aux 15-24 ans, deux victimes sur trois situées dans la catégorie des 25-44 ans circulaient sur une cylindrée supérieure à 125cm3.

Les petites et grosses cylindrées

Fortement urbanisée, la région Ile-de-France dispose d'un vaste parc de deux-roues motorisés (15.8% du parc français) et notamment de scooters. Sans surprise, on constate que la grande majorité des victimes franciliennes étaient des conducteurs de petites cylindrées (<50cm3). On ne s'étonnera pas non plus de voir que le nombre de tués va en augmentant avec les cylindrées supérieures à 125cm3, notamment en raison d'une vitesse plus élevée.
Parmi les cylindrées supérieures à 50cm3, la motocyclette engendre 84% des tués et 74% des blessés. Elle est donc bien plus impliquée dans les accidents graves que le scooter.

Des accidents en semaine et aux heures de pointe

Si l'on veut éviter l'accident en Ile-de-France, mieux vaut éviter les heures de pointe. Plus facile à dire qu'à faire sans doute dans une région où le trafic est sans cesse dense. Si l'on se penche sur l'étude réalisée par la DRIEA, on remarquera que ces heures de pointe concernent les tranches horaires 7h-10h pour le matin avec 17% des accidents et 16h-20h pour le soir (31% des accidents). Les franciliens semblent plus alertes au saut du lit qu'après une dure journée de travail

Sur quel type de trajet ?

Les principaux motifs de déplacement impliquant des deux-roues motorisés dans un accident corporel en Ile-de-France sont les trajets "promenade-loisirs" (38%), suivis de près par les trajets "domicile-travail" (28%) ainsi que les "utilisations professionnelles" (18%).
Ainsi en Ile-de-France, les accidents se déroulant en trajet mission concernent 52% des deux-roues motorisés de petite cylindrée tandis que les trajets domicile-travail sont à l'origine de 44% des accidents des grosses cylindrées.

Les deux-roues responsables de 39% des accidents l'impliquant

En Ile-de-France, le deux-roues motorisés n'est présumé responsable que dans 39% des accidents l'impliquant. Parmi les véhicules jugés responsables, on constate que la proportion des petite cylindrée est omniprésente ainsi que les jeunes usagers (44%).
Les conflits entre deux-roues et véhicules légers représentent les 2/3 des accidents corporels des utilisateurs de deux-roues motorisés en Ile-de-France. De plus, les conflits impliquant un deux-roues et les piétons sont loin d'être négligeables dans la mesure où ils représentent 10% des accidents corporels en deux-roues motorisés.

La moitié des accidents en ile de France se produit sans que le deux-roues n'effectue un changement de direction alors que 10% d'entre eux ont lieu dans une situation de dépassement.

Les causes d'accidents

En Ile-de-France, le taux de dépistages positifs à l'alcool est équivalent pour les conducteurs de deux-roues motorisés et de véhicules légers. Il est de l'ordre de 6% pour l'ensemble des accidents corporels.
Cependant, les utilisateurs de deux-roues sont plus impliqués que les conducteurs de véhicules légers dans les accidents mortels que ce soit en situation d'infraction (0.5g/L de sang) ou de délit (0.8g/L de sang).

Parmi les conducteurs de deux-roues, les situations de délit et d'infraction sur les accidents corporels concernent à 47% les petites cylindrées. Sur les accidents mortels, ces situations concernent à 54% les grosses cylindrées et à 30% les petites cylindrées.
En première ligne des causes d'accidents de deux-roues en Ile-de-France se trouve un défaut de maîtrise de la vitesse pour 39% des cas. Vient ensuite le refus de priorité (13%), le dépassement (20%) et enfin la circulation sur une voie réservée aux transports en commun (8%).
39% des infractions relevées dans les accidents de deux-roues concernent par ailleurs les petites cylindrées.



Les accidents corporels à Paris, les accidents mortels dans la grande couronne

Si l'on s'amuse à dresser une topographie des accidents de deux-roues en Ile-de-France on remarquera très rapidement que la majeure partie des accidents corporels ont lieu à Paris (48% des cas) ainsi qu'au sein de la Petite Couronne (34%). Pourtant, les accidents mortels sont plus fréquents dans la Grande Couronne (52%) et dans la Petite Couronne (32%). Un fait qui trouve vite son explication si tant est que l'on a déjà essayé de rouler vite dans la capitale. En raison de son trafic dense, les vitesses sont souvent minimes tandis que la Grande Couronne, moins urbanisée, permet aux différents usagers de la route de presser plus confortablement sur l'accélérateur.
Avec un peu plus de précisions, on peut dire que l'essentiel des accidents ont lieu sur les voies communales tandis que la gravité est plus importante sur les voies nationales avec 41% contre 19% pour les voies communales.

Merci au repaire des motards

Bonus Malus des véhicules en fonction de la pollution



Le gouvernement annonce, un durcissement du malus - aussi bien sur les seuils de déclenchement que sur les montants - ainsi que la suppression de l'aide de 200 euros pour la dernière tranche de "bonus" de 91 g à 105 g de CO2, soit la majorité des voitures commercialisées dans l'Hexagone. Pire, les aides aux véhicules hybrides émettant moins de 110 g (minimum de 2.000 euros, maximum de 4.000 euros, sans excéder 10% du prix d'achat) verraient leur bonus largement diminuer. 
Le montant maximum du malus passe de 6.000 euros à 8.000 euros pour un niveau d'émissions de CO2 inférieur au seuil actuel"


Une écotaxe dite malus et une taxe dite taxe CO₂ sanctionnent financièrement l'acquisition ou la location (sous conditions) d'un véhicule particulier (VP) neuf ou d'occasion polluant, en fonction de la quantité de dioxyde de carbone (CO₂) émise par le véhicule.


 À ces taxes s'ajoute, les années suivant l'achat ou la location, le paiement d'une taxe annuelle sur la détention de VP polluants pour les véhicules dont le taux de CO₂ est le plus élevé. 
 Si l'immatriculation est faite par le concessionnaire, le malus est inclus dans la facture dans la catégorie des "frais d'immatriculation". Si l'acheteur fait lui-même la démarche en préfecture, le malus est réglé en même temps que le certificat d'immatriculation. 

Cliquez pour connaître le taux d'émission de CO2 et les consommations de votre voiture



Plus 3700 € pour une VE si vous vendez une essence de 10 ans
Plus 2500 € pour hybride rechargeable si vous vendez une essence de 10 ans
Plus 500 € pour hybride non rechargeable si vous vendez une essence de 10 ans

Première immatriculation d'un véhicule polluant

 
Le paiement de l'écotaxe additionnelle (malus) sur le certificat d'immatriculation (ex-carte grise) se fait lors de l'immatriculation d'un véhicule particulier polluant :

  • acheté ou loué (avec option d'achat de longue de 2 ans minimum) neuf en France,
  • ou acheté d'occasion à l'étranger et importé en France.
Ce paiement a lieu lors de l'immatriculation. C'est l'année de l'immatriculation qui compte, pas la date de commande ou d'achat. 

Nouvelle immatriculation d'un véhicule d'occasion polluant

 
Pour les véhicules mis en service depuis le 1er juin 2004, une taxe additionnelle (taxe CO₂), en cas d'achat d'un véhicule d'occasion polluant, est due lors de l'établissement du certificat d'immatriculation suite à l'achat.
Elle n'est pas due en cas de délivrance d'un nouveau certificat à la suite d'un changement d'état civil, de domicile ou de dénomination sociale, ou de délivrance d'un duplicata. 

Pour les véhicules spécialement équipés pour fonctionner au moyen du super éthanol E85, le montant de la taxe est réduit de 50%.

La taxe additionnelle est calculée selon le nombre de grammes de CO₂ émis par kilomètre, selon le barème suivant :
  • 2 € par gramme de dioxyde de carbone pour un taux supérieur à 200 g CO₂ / km et inférieur ou égal à 250 g CO₂ / km,
  • 4 € par gramme de dioxyde de carbone pour un taux supérieur à 250 g CO₂ / km.

Taxe annuelle sur la détention de véhicules particuliers polluants

 

Une taxe annuelle de 160 € s'applique aux véhicules particuliers les plus polluants, immatriculés pour la première fois en France à partir du 1er janvier 2009.
Elle est due, à partir de l'année qui suit la délivrance du certificat d'immatriculation du véhicule (2012 et après : 190 € )

Acquisition ou location d'un véhicule peu polluant (sauf électrique ou hybride)


Conditions pour les véhicules particuliers (VP)

Une aide est versée à toute personne physique domiciliée en France, lors de la 1ère immatriculation en série définitive pour l'achat ou la location (avec option d'achat ou de longue durée de 2 ans minimum) d'un véhicule neuf fonctionnant à l'essence, au diesel ou au gaz de pétrole liquéfié (GPL).


  • Véhicule combinant énergie électrique et moteur à essence et non gazole

     
  • Une aide est versée à toute personne physique domiciliée en France, lors de la 1ère immatriculation pour l'achat ou la location (avec option d'achat ou de longue durée de 2 ans minimum) d'un véhicule neuf, combinant énergie électrique et moteur à essence ou gazole. La facturation de ce véhicule doit intervenir le 31 mars 2014 au plus tard.(4 000 €)
  •  
    Exemples de malus suivant la motorisation chez Citroën et Audi 
     









Comment sont calculés les taux de CO2 et les consommations ?

 En Europe, la mesure de la consommation s'effectue selon une procédure très stricte d'homologation baptisée NEDC, pour New European Driving Cycle. La voiture est placée sur un banc à rouleau où elle est soumise à des cycles simulant la circulation urbaine et extra-urbaine, afin d'établir une valeur moyenne dite mixte. La voiture parcourt ainsi 11 km durant le test, dont 4 km en ville. Le principe est d'enchaîner accélérations, décélérations et paliers de vitesse, durant environ 20 minutes. La vitesse moyenne sera de 33 km/h

samedi 14 septembre 2013

Radars ayant réduits la mortalité: analyse





Une association mettait en cause 72 radars considérés comme piégeux et placé pour être "rentable". L'analyse qui suit permet de se rendre compte qu'il y a une baisse des accidents mortels aux endroits des radars.
Avant la mise en service du radar sur l'A 35, entre 2001 et 2006, 91 accidents ont été recensés sur cette zone provoquant le décès de 5 personnes et causant 129 blessés, dont 31 hospitalisés.

Dans les 5 ans suivant l’installation du radar:

60 accidents ont provoqué 2 tués et 80 blessés dont 11 hospitalisés. Soit : 31 accidents de moins, 3 tués de moins et 49   blessés sauvés.

Les radars   sont placés à des endroits accidentogènes dans le seul but d’inciter les usagers à réduire leur vitesse afin de diminuer le nombre d’accidents sur les  routes. 

Une vingtaine de radars sont notamment déplacés chaque année car les conditions de dangerosité ayant prévalu à leur installation ne sont plus réunies.
La vitesse excessive, encore à l’origine de 26% des accidents mortels en 2012, reste un facteur aggravant dans l’ensemble des accidents.
Les radars, en faisant évoluer les comportements, contribuent à la baisse de la mortalité sur les routes et à l’atteinte de l’objectif fixé par le ministre de l’intérieur de moins de 2000 morts  par an en 2020. 
Vous  trouverez ci-après une analyse détaillée des 72 radars cités dans l’étude de 40 millions d’automobilistes, classés par région et par département.

  Cliquez      sur    Étude     de     72   radars       ayant        réduit      la              mortalité



samedi 7 septembre 2013

Radar discriminant Comment fonctionne t'il ?






Comment fonctionne un radar discriminant ?

Sur une autoroute par exemple, les poids-lourds seront flashés à partir de 90km/h (marge 5 km/h au compteur)

La cabine radar intègre une antenne de détection des poids lourds qui permet au radar de classer les véhicules selon deux catégories dites VL et PL
Ils flashent des véhicules de plus de 2 mètres de haut qui ne sont pas des camions.
Mais le PV ne tombe que si le véhicule flashé a une longueur supérieure à 8 mètres.
La technique et le service verbalisateur de Rennes sont en charge de faire le tri entre un 4x4 surélevé, un fourgon, un camping-car (qui sont des véhicules légers) et un vrai et grand poids lourd.
Chaque cliché pris par un radar automatique est vérifié par un officier de police judiciaire. A la vérification du cliché, si l'infraction n'est pas avérée ou qu'un doute subsiste sur celle-ci, aucune contravention ne sera envoyé au propriétaire du véhicule


 
Il pourra dans l'avenir (l'option est prévue) s'adapter selon des tranches horaires. Par exemple en ville à proximité d'une école, flasher à 30 km/h lors des heures d'entrées et de sorties des élèves et flasher à 50 km/h le reste du temps (si cela voit le jour, des panneaux de limitation de vitesse spécifiques par tranche horaires signalerons ces cas particuliers).




Dans le cas des radars feux-rouges, un flash se déclenche dès qu'un véhicule franchit la ligne d'effet des feux (LEF) matérialisée en traits pointillés sur la chaussée. Le Code de la route impose l'arrêt en amont de la ligne d'effet des feux. S'arrêter à cheval sur cette ligne ou la dépasser constitue déjà une infraction.

Ce radar peut surveiller et flasher jusqu'à 4 voies différentes et simultanément (autrement dit il peut contrôler la vitesse de quatre véhicules simultanément sur différentes voies de circulation et enregistrer leurs vitesses respectives) autrement dit terminé les PV rejetés lorsque plusieurs véhicules sont sur la photo.


Cependant, si le véhicule dépasse la ligne d'effet des feux mais s'arrête au pied du feu tricolore avant le carrefour, l'appareil photo se déclenche mais aucun avis de contravention ne sera envoyé.
Lorsqu'un véhicule franchit un feu au rouge pour une raison justifiée (passage d'un véhicule prioritaire, pompier, police, SAMU), l'appareil relève une infraction et un flash se déclenche. Néanmoins, le CACIR (Centre automatisé de constatation des infractions routières) n'émettra pas d'avis de contravention.
Par exemple, si le véhicule est "poussé à griller le feu" dès le début de la phase de rouge, alors le véhicule d'urgence sera lui aussi flashé et apparaîtra sur les photos. Dans ce cas, le CACIR n'émettra pas d'avis de contravention.



dimanche 1 septembre 2013

Caméra embarquée pour éviter les litiges avec les assurances



Daschcam en HD pour rouler serein


Partant du principe qu'un accrochage ou pire peut arriver, il peut être intéressant d'installer une Daschcam (caméra embarqué à 200 €) dans sa voiture. Ce genre de caméra est quasi-inconnu en France. 
La caméra se branche sur l'allume cigare ou peut être raccordé à la batterie, permet de filmer soit continuellement, où lorsqu'elle détecte un freinage fort/impact et son point fort, à mon avis, c'est le mode parking; elle reste en veille lorsque la voiture est garée et dès qu'elle détecte un mouvement dans son champ de vision la caméra enregistre. 
Elle garde en tampon environ 1 min de film . Dès le déclenchement d'un freinage d'urgence, enregistrement du tampon et de la suite du film sur une valeur prédéterminé après l'arrêt complet du véhicule. En stationnement,un capteur détecte tout mouvement dans son champ de vision et enregistre.
L'intérêt est d'avoir une preuve non formelle qui puisse servir à étayer sa défense devant les tribunaux. De plus au niveau assurance, cela évite de nombreux litiges.


la FINEVU CR-300HD Full HD Car Black Box coréenne à l'air d'être un bon modèle (batterie incluse, GPS, localisation sur Google map et on l'enlève facilement de la voiture). Il y a aussi la Blackvue DR400g-HD, La Roadeyes et bien d'autres.




dashcam-france

Ce site Cliquez pour : comportements aberrants met en ligne grâce aux Daschcam  des comportements aberrants d'une partie des conducteurs